BREAKING NEWS ALERT!
L'Agent James DON a été démasqué!!!
par Editeur en Chef Mister Mesrine
D'après une
enquète interne au sein de la famille Pizza Power famille la plus puissante du
grand banditisme et ce en parallèle d'une enquète menée au coeur du plus grand
réseau mafia de la planète la goodgame gangster, se cacherai un agent secret.
Effectivement certains grands membres du banditisme un peu parano ont
décidé d'enquéter sur toutes les familles car une rumeur courrait depuis
quelque temps. Celle-ci disait que l'un d'eux jouait double jeu. Alors après plusieurs
mois d'enquète, de moulte rebondissements et d'infiltrations en tout genre la
vérité est apparue. A la plus grande surprise de tous il s'est avéré que le
joueur en question n'est autre que James Don l'agent n° 7.0.0 alias Don
Mafia. Oui cette terrible nouvelle risque de retourner le monde du grand
banditisme. Comment va réagir la communauté? Quelles vont être les réactions de
ces grands gangsters? Sa tête va t-elle mise à prix? Cet agent double n'aurait
il pas tout simplement basculé du coté obscure? Pourquoi cette agent a-il
infiltré la goodgame gangster? Quelle était sa mission? L'agent James Don 7.0.0
peut il encore s'en sortir? Toutes ces questions méritent réponses.
Nous
mettons nos journalistes au travail afin de vous répondre au plus vite dans cette édition très spéciale.
*********************************************************************
ALERTE ENQUETE DE CHOC!
Romy, notre journaliste en chocolat de choc nous présente la 1ère preuve!
par notre journaliste sur le terrain Rachel Fast & son adjointe l'enquiquineuse Romy.
*********************************************************************
AVIS DE DISPARITION: L'INTERVIEW ACCABLANTE.
James DON Porté Disparu Depuis que son Identité a été révélé!
par Jojo de Las Vegas
James Don
est porté disparu depuis que son identité d'agent secret a été révelée au
grand jour. L'infiltré détient maintenant des informations susceptibles de faire
effondrer le monde impitoyable de la Mafia, lui qui avait une place majeure au
sein des bandits. La communauté enragée qu'il laisse derrière lui est désormais
à ses trousses afin de l'éliminer de la manière la plus abominable qui
soit.
J'ai donc
mené mon enquête pour le retrouver et pour pouvoir répondre aux questions que
tout le monde se pose, et malheureusement, après avoir sué sang et eau, les
résultats se sont avérés maigres ou incohérents. Cette longue traversée du
désert a pris fin lorsqu'une jeune femme en larmes a sonné à ma porte la
semaine dernière. C'était la "Don Girl" de Don Mafia, comme il se
complaisait à l'appeler selon les dires de la demoiselle. Elle avait lu une
annonce que j'avais posté sur mon blog, dans laquelle je demandais à tout ceux
qui avaient connu James de bien vouloir se manifester et répondre à une
interview. Je vais ainsi vous faire part de cette interview, qu'elle a bien
voulu rendre publique.
Quand avez vous rencontré James, et dans quelles
circonstances?
C'était il y
a un an, à l'une des parties de poker que mon père organisait tous les mois
avec des grands noms de la Mafia. James faisait tâche parmis tous les
alcooliques au visage rougeâtre et boursouflé qui composent notre communauté.
Vous savez, il y a peu de femmes dans ce monde sans scrupule. Ma place à moi,
ou plutôt celle qu'on m'a attribuée, était au bar, à servir du Ballantine's et
des cigares. Malheureusement pour moi, ou plutôt heureusement, je ne sais pas
trop, j'ai renversé un verre sur son constume alors qu'il était en pleine
partie avec mon père. L'adresse ne fait pas partie de mes qualités. A ce moment
là, je n'osais même pas relever la tête tant j'avais honte, et peur de la
réaction de mon père. J'ai a peine levé les yeux que j'ai senti sa lourde main
giffler ma joue droite. Tout le monde riait, sauf Don, qui a refusé que je
nettoie sa veste. Je me suis faite aussi petite que possible, et j'ai continué
mon service en essayant de ne croiser le regard de personne comme à mon
habitude.
A priori, vos relations avec Don ont évolués depuis ce jour là,
quelle a été la réaction de votre père en apprennant la nouvelle?! Vous a-t-il
gifflé à nouveau?
En effet, le
soir même, il est venu me voir quand je nettoyais la salle, pour s'excuser de
ce qui m'était arrivé, bien qu'il n'y était pour rien et nous avons longuement
discuté. Notre relation s'est rapidement développée par la suite... Comme vous
pouvez l'imaginer, mon père n'est absolument pas au courant de tout cela.
Etiez-vous au courant de ses activités d'agent secret?
Au départ
non, le banditisme est un milieu où tout le monde se méfie de tout le monde, même
de son propre frère. Les infiltrés sont zigouillés dans la journée,
habituellement. Mais lui, tout le monde lui faisait confiance, c'était un pro
dans la finance, il gérait les fonds et les transactions d'une main de maître,
il est rapidement devenu un grand nom dans notre milieu.
"Au départ
non"... Qu'entendez vous par là au juste?
Je me suis
rapidement apperçue qu'il n'était pas celui qu'il prétendait être. Il suffisait
de le voir se comporter avec les autres... il était un autre homme avec moi. Il
n'était pas heureux de travailler avec ces gens là. Tout l'argent qu'il
possédait ne lui faisait rien, il n'était pas à sa place parmis tous ces
rapaces. Ce n'était pas un mafieu, cela me semblait être une évidence. Et puis
il n'a jamais voulu m'emmener chez lui en un an. Avait-il quelque chose à me
cacher?! Bien évidemment...
Et cela ne vous dérangeait d'être avec un homme
malhonnête?
Il n'était
pas malhonnête, nous vivons dans un monde où tout le monde se ment, et se cache
des choses par intéret, madame. D'ailleurs, pour en avoir le coeur net, je l'ai
suivi jusqu'à chez lui un soir. Il vivait dans la maison qui a été calcinée
après son départ. Je suppose qu'il a fait cela pour ne pas laisser de traces.
J'ai honte de raconter cela, mais un matin, sachant qu'il n'était pas chez lui,
j'ai pris la clef passe partout de mon père. Vous savez, celles des
cambrioleurs, qui ouvrent toutes les serrures! Et je me suis introduit chez
lui.
Vraiment!? Avez vous trouvé quelque chose de suspect chez lui?
Rien de très
suspect au premier abord. C'était une maison à son image, très coquette, et
bien ordonnée. C'était jusqu'à ce que je rentre dans son bureau fermé à double
tours. La pièce était austère, et recouverte de papiers en tous genres. Le mur
de droite était tapissé de photos de mafieux, pour la plupart rayées au feutre
rouge. Ces hommes étaient tous morts, je suppose qu'il en est l'origine. Les
meubles à tiroirs contenaient des dossiers classés par ordre alphabétiques.
J'aurais pu me dire que ce n'étaient que ses clients! Mais ces dossiers
résumaient l'ensemble des crimes que chacuns de ces hommes avaient commis. Ils
contenaient également de nombreuses de photos, aussi bien des photos de scènes
de crime que des photos de famille. Et je ne vous raconte pas les frissons que
j'ai eu en voyant des photos de mes frères et moi étant petits dans le dossier
de mon père... Oui, lui aussi avait son dossier, et je peux vous dire qu'il
faisait partit des plus gros. En voyant tout cela, j'ai eu l'impression que le
monde s'éffondrait autour de moi, que je n'étais que le pigeon de cet homme,
l'intermédiaire entre mon père et lui pour faciliter sa mission.
En d'autres
termes, vous êtes en train de me dire que votre relation a pris fin après cette
escapade?
Absolument
pas. J'ai mis plusieurs minutes à me remettre de mes découvertes, et
sincèrement, je songeais fortement à saccager l'ensemble de ses documents. Je
suis sortie de la pièce pour reprendre mes esprits, et j'ai repris mon
excursion dans la maison de l'homme que j'avais l'impression de ne plus
connaître. Je me suis rapidement retrouvée dans sa chambre. Ma stupeur a été
d'autant plus grande quand j'ai vu la dizaine de cadres photos éparpillés sur
les tables de nuit et la commode. Toutes des photos de nous deux, ou de moi
seule. La vue du foulard qui portait mon parfum entre ses deux oreillers a
suffit à me faire sanglotter pendant un bon moment. J'étais soulagée. J'aurais
probablement du me sentir inquiète de connaître ses activités secrètes, surtout
que mon père faisait partie de sa liste noire. Mais non, j'en avais rien à
faire.
Lui avez-vous révélé avoir visité son logement en cachettes?
Non, je ne
voulais surtout pas perturber ses activités.
Très bien. Et vous n'avez rien
trouvé d'autre qui puisse nous aider dans notre enquête?
Si, c'est en
partie pour ça que je suis ici. J'ai retrouvé son acte de naissance, des fiches
de paye depuis 2002, et sa pièce d'identité, l'originale où figure son emprunte
digitale. J'ai pris soin de tout photocopier, on ne sait jamais, je voulais
m'assurer de le retrouver s'il devait un jour prendre la fuite. Tenez, je vous
les donne. Ah, et j'oubliais! J'ai pris en photo l'intégralité du dossier qu'il
avait sur mon père, histoire de pouvoir l'étudier en détail en rentrant chez
moi. Je vous les envoie sur le champ, il y a de quoi le condamner a perpétuité,
lui et ses associés. James Don, né le 23 Janvier 1982 aux États-Unis. Je vous
remercie, infiniment, ces documents vont considérablement nous aider, je les
donnerai aux autorités.
En revanche, pourquoi ne pas défendre votre père en
cachant ces informations?
Mon père est
une ordure, il ôte la vie des gens pour son intéret financier, il blanchit de
l'argent, et oblige des jeunes filles démunies à vendre la drogue qu'il fait
produire en Colombie. Je le savais violent, il l'était avec moi. Mais jamais je
ne m'étais imaginée qu'il était un monstre à ce point. Donc je fais ce que
James aurait fait, je me débarasse de lui, je fais justice.
Je vois, c'est tout
à votre honneur. Vous a-t-il prévenu qu'il allait s'enfuir?
Il l'a fait
dans une longue lettre que j'ai découverte en rentrant d'un dîner d'affaire
chez mon père. Elle était posée sur mon lit, rien que d'y penser, j'en ai la
nausée. Il ne m'a pas dit pourquoi il partait, mais il s'en excusait sans
arret. Il m'a également promis qu'il allait revenir une fois qu'il se serait
tiré de ses ennuis, et qu'on quitterait la ville une fois qu'il aurait fini son
travail. Par travail, il sous entendait sûrement son enquête. Maintenant qu'il
a les preuves pour condamner la majorité des mafieux de la ville. Je ne
m'étalerai pas sur le contenu de cette lettre, ça n'a aucune importance pour
votre enquête.
Je vous remercie infiniment pour votre coopération et pour les
documents que vous m'avez fournis. J'aimerais en revanche vous demander
pourquoi vous souhaitez rendre cette interview publique, ça pourrait pourtant
vous coûter cher.
J'ai deux
policiers postés à chacune des portes de ma maison, et un qui m'escorte partout
où je vais, la sécurité n'est pas un problème. Je suis là car je veux que tout
le monde sache qu'il n'y a pas une once de méchanceté chez Don, et je ne dis
pas cela parce qu'il partageait ma vie. Il est du genre à donner tout ce qu'il
a sur lui aux nécessiteux qu'il croise dans la rue. Et bien évidemment, il faut
absolument le retrouver avant que mon père où un autre déséquilibré le retrouve
avant. Secrètement, j'espère que James lira ceci, peu importe où il est à
l'heure actuelle. J'aimerais qu'il sache que je suis au courant pour son
identité depuis le début et que cela ne change en rien mes sentiments vis-à-vis
de lui. Je veux qu'il revienne, s'il souhaite fuir, je fuirai avec lui.
Inspecteur
Jo' El Taxi, Interview de la James "Don" Girl, 29/03/2015.
*********************************************************************
Don ne suffit pas mais il mourra un
autre jour d'un bon baiser de Russie et les hirondelles chieront sur le monde
quand le printemps reviendra...
par nos envoyés spéciaux: Isadora et Razzia
Mars 2015, le
monde voit sa face changée par la récente promotion au grade de commandeur de
Don Mafia. Don se voit honoré par la Reine (des abeilles) du grade le plus
honorifique existant. Cet épinglage de médaille douloureux mais en règle
intervient après sa récente action contre l'intégralité des vilains auxquels
s’étaient déjà confronté James Bond. Jugeant que Don représentait une plus
grande menace que le bellâtre anglais roulant en Aston Martin DB9, le Spectre,
ainsi que le SMERSH, le SMECTA et UBS décidèrent de se lier contre Don Mafia.
C'est un peu
étonné et confus (cius) se demandant s'il n'avait pas trop fait la fête la
veille et ramené à la maison non pas la magnifique blonde du bar mais un vieux
avec une main en fer, que Don trouva dans son salon un fume cigarette à la main
le non moins célèbre Julius No, docteur de son état.
Ce dernier
après deux ou trois blagounettes sur la
délicatesse de ses tortures ( Don ne compris pas très bien ce que
faisait le Dr No avec un bol de nouilles et des baguettes à ses suppliciés) Don
entrepris de le noyer dans un verre d'eau tâche difficile, ne trouvant chez Don
que du Whisky ou du Cognac.
Tout à son
entreprise aquatique, Don a été surpris en entendant « Miaouuuuuu, kshhhh,
kshhh !!! » derrière lui. Stavro Blofeld n'avait effectivement pas pu
faire glisser son fauteuil en cuir à roulette vu les petites marches de
l'entrée de la maison de Don. Il avait donc envoyé son chat en finir avec le
grand mafieux. Mais c'était sans compter sur la présence de Julius No qui au
lieu de se noyer dans n'eau attrapa dans un dernier soubresaut ses baguettes et
ne fit qu'une bouchée du chat. Faut pas déconner on est chinois ou on ne l'est pas.
Don
entrepris de laisser sa femme de ménage s'occuper de nettoyer le reste et de
sortir un moment s'aérer, non sans avoir donner un coup de pied dans le
fauteuil de Blofeld pour le pousser dans le lac Léman, histoire de la
débarrasser au moins de ça.
En
s'extasiant sur la beauté du paysage et du vol d'hirondelles qui annonce le
printemps, au dessus du lac alors que Blofeld faisait bloubloup, Don ne pu
s'empêcher de s'interroger sur la race d'hirondelles qui lui fonçait dessus.
Ronde, noire et ressemblant étrangement à un chapeau melon. Un asiatique
hystérique semblait suivre son chapeau melon volant avec un club de golf à la
main. Curieux endroit pour jouer au golf. C'est après un ou deux évitement que
Don compris que Oddjob (tel était son nom) n'en avait pas après son chapeau
melon mais après le grand mafieux !
Décidément
le continent asiatique ne l'aimait pas. Pourtant spéculer sur la bourse
asiatique pouvait s'avérer un marché gagnant. Don se fit la réflexion que les
Asiatiques comme les autres n’aimaient pas beaucoup qu'on touche à leurs
bourses sans leur autorisation. S'est avec étonnement qu'Oddjob vit Don
s'assoir et se lancer sur un comparatif entre le chapeau melon, le Stetson et
la crise actuelle. Oddjob préféra se petit-suicider qu'en entendre plus et
rejoindre Blofeld dans le bouillon.
Usé par
toutes ces péripéties, Don décida de prendre un peu de vacances pour se
reposer, le tout très loin de l'Asie, des chats et des lacs. C'est alors que
l'idée lui vint de partir aux Antilles, quitte à laisser son Cognac contre une
pina colada. A peine arrivé à l'aéroport, il se cru en plein carnaval, un gars
affublé d'une tête de mort gesticulait devant lui, Don comprit vite ses
intentions lorsque ledit mort tenta de le supprimer à l'aide d'un pic à glace
dans les toilettes de l'aéroport, un certain Baron Samedi. Etait ce un cousin
éloigné de Mercredi ? Avait il trouvé l'île de Robinson Crusoé ? Une
blague lui vient à l’esprit : Samedi bien de me visiter les criques de
cette île, c'est alors que le Baron mourut de rire, la vie de super méchant
n'est vraiment pas facile.
Pas de
chances, notre Don s'installa sur la plage appartenant à la Compagnie
Maléfiques des Vilains Méchants Unis Contre Don (la fameuse CMVUCD). Il fut
immédiatement emmené au siège de leur quartier général présidé par le
sanguinaire, homme au pistolet d'or. En effet, cet homme faisait un complexe et
pour pouvoir se la péter auprès des autres bandits se fit faire un pistolet en
or.
S'ensuit une
bataille épique à base de tirage de cheveux, doigts dans les yeux et autres paf
dans le pif. Et après environ une bataille de 45 secondes montre en main, Don
projeta L'homme au pistolet d'or par dessus la rambarde du balcon. Ce dernier se prit de plein fouet la volée
d'hirondelles qui annonçait toujours le printemps.
Sa mort fut
longue et douloureuse, mais quel plaisir de voir ce méga-vilain ne plus faire
partie du paysage mondiale. Quand à Tric-Track il tenta une reconversion dans
Fort-Boyard, mais personne n'a plus de nouvelles de lui...
Décidément
on est plus tranquille même en vacances. Il demanderait à se faire rembourser
auprès de Bellambra-vacances, l'agence qui lui promettait des noix de coco sur
des seins et pas des noises avec des coco et des nains. Don décida de prendre
la mer cela le ramènerait fatalement au
lac Léman (si, si je vous assure si on s'y prend bien ça marche.) Alors que le
sémillant jeune mousse de 2 mètres et de 120 kilos répondant au doux nom de
requin s’apprêtait à larguer les amarres du bateau piégé avec les dents,
tradition sur le quai appartenant à la CMVUCD, Don décidément alcoolique, se
fit payer au bar un petit Martini Gin à la cuiller par un beau blond aux yeux
bleus assez sympa.
Le petit
blond un T-shirt vintage CCCP sur le torse faisait des clins d'oeil à Don. Un
peu gêné ce dernier essayait de trouver les bons mots pour ne pas blesser ce
jeune homme lorsque pris de convulsions faciales Orlov cria à la cantonade
(rien à voir avec Eric) « Je hais les croisières ! Je vous foutrais
tout ça au Goulag moi ! ». Chaussant sa casquette kaki tendance et
rouge Lénine, le général Orlov se jeta à la gorge de Don qui ne put que
déglutir rapidement sa dernière gorgée de Martini gin.
Cependant
qu'Elliot Carver se bidonnait en photographiant la scène qui paraîtrait sur son
blog d'information à la seconde même pour que la réputation de Don soit coulée
irrémédiablement. C'était sans compter l'arrivée de Tiago Rodriguez qui,
décidant de se jeter dans la mêlée retira son appareil dentaire à cent mille
dollar lui déformant ainsi la face. Orlov surpris par l'horreur de la chose qui
lui venait dessus poussa un cri de poussin géant et décida sur le champs de se
faire naturaliser (non pas empailler, mais de prendre la nationalité
états-unienne, faut pas déconner Lénine sans Stalline c'était pas si chouette
que ça) . Tiago se retrouvant face à fesse avec Don fut un tantinet émoustillé
d'être le dernier méchant de cette histoire, rêvant déjà à la notoriété que
cela lui ferait d'être « Celui qui avait fait plier LE commandeur Don
récemment promus 007 » il ne vit pas arriver un vol d'hirondelles aveugles
sur le pont supérieur qui finirent de lui ravager la tête pour de bon. Don s'en
sorti donc « à l'aise » méritant le grade de commandeur 007 (une petite
bombe sur le bateau à désamorcer mais rien de grave).
La morale de cette
histoire est que les hirondelles tout comme Don font le printemps. La preuve
est ainsi faite que James Don est notre rayon de soleil à nous pour lutter
contre les méchants vilains de ce monde. Mouahahahahah !
RENDEZ VOUS PROCHAINEMENT POUR DE NOUVELLES AVENTURES!
*********************************************************************
Merci à tous pour cette sympathique surprise, surtout aux enquêteurs et journalistes qui m'ont traqué jours et nuits! Merci pour vos messages. Merci pour votre soutien.
My name is Don, James Don (et toujours en cavale)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire